                  <p>Face à la formation de Promotion League, les Sédunois ont forcé la décision grâce à l&#8217;efficience de Théo Bouchlarhem. Le Français a ouvert le score à la 27e avant de provoquer le penalty du 2-0 transformé par Kevin Bua à la 56e. Le FC Sion ne s&#8217;est donc pas pris les pieds dans le tapis dans un match qui sentait pourtant bon le piège.</p>
                  <p>Autre équipe romande de Super League en lice vendredi, Yverdon Sport a traversé une soirée plus compliquée à Emmen. Menés au score après seulement 3 minutes de jeu par l&#8217;équipe de 2e ligue inter, les Vaudois ont toutefois renversé le score avant la pause grâce à Mitchy Ntelo et à Hugo Komano. Le Belge et le Français ont enlevé une belle épine du pied à leur entraîneur Alessandro Mangiarratti. Une élimination face à un tel adversaire à ce stade de la compétition aurait, en effet, fait tache.</p>
                  <p>Enfin dans le choc au sommet de la soirée, les Grassoppers se sont imposés 2-0 à Thoune pour confirmer en quelque sorte leur succès lors du dernier barrage de promotion/relégation. Sonny Kittel et Nikolas Muci ont marqué pour les Zurichois face à un leader de Challenge League un peu trop timoré.</p>
          

Coupe de Suisse: Sion et Yverdon passent

                  <p>Comme Jérôme Kym (ATP 151) lors du simple initial face à Ignacio Buse (ATP 212), Marc-Andrea Hüsler (ATP 171) n&#8217;a rencontré aucune difficulté majeure pour battre Juan Pablo Varillas (ATP 179). Préféré à Dominic Stricker, le gaucher zurichois a pleinement justifié la confiance de son capitaine Séverin Lüthi. Il a gagné les trois premiers jeux et les trois derniers de cette partie pour s&#8217;imposer 6-3 6-4. Il n&#8217;a connu qu&#8217;une seule véritable alerte face au no 1 péruvien, une balle de 5-3 au second set qu&#8217;il a écartée de manière magistrale avec un ace.</p>
                  <p>Seul un incroyable concours de circonstances pourrait empêcher la Suisse de prendre sa revanche sur la défaite 3-1 concédée au Pérou il y a quatre ans. Marc-Andrea Hüsler et Dominic Stricker devraient conclure d&#8217;entrée de jeu samedi dans le double. Malgré toute leur grinta, les Péruviens dévoilent, en effet, bien  des failles dans le jeu en indoor pour croire au miracle.</p>
          

Coupe Davis: le plus dur est fait

                  <p>Leur association était une évidence depuis qu'Anouk Vergé-Dépré et sa coéquipière depuis huit ans Joana Mäder avaient décidé de cesser leur collaboration et qu'Esmée Böbner, partenaire de Zoé, avait annoncé sa retraite peu après. Ce rêve d'enfant va se réaliser.</p>
                  <p>"C'était une option depuis longtemps, mais ce n'est que ces dernières semaines que l'idée s'est concrétisée. Cette année, le fait d'être concurrentes directes (pour une place aux JO) nous a encore plus soudées. Nous avons été confortées dans l'idée que cela pouvait fonctionner en tant qu'équipe sans mettre en péril notre relation de sœurs", explique Anouk, citée dans le communiqué.</p>
                  <p>"Si ce n'est pas maintenant, alors quand ? Je me réjouis de pouvoir réaliser ce rêve et de vibrer à l'avenir pour les mêmes objectifs", ajoute Zoé, qui continuera d'évoluer en position défensive dans ce nouveau duo dont les premiers entraînements sont prévus en novembre.</p>
                  <p>Pour sa soeur aînée Anouk, le changement de partenaire signifie en revanche aussi un changement de positionnement sur le terrain. La médaillée de bronze des JO 2021 retournera à ses racines pour jouer au bloc, précise encore le communiqué Swiss Volley.</p>
          

Anouk et Zoé Vergé-Dépré font la paire

<p>Les trois m&eacute;daill&eacute;s en chocolat des derniers JO chercheront un dernier r&eacute;sultat positif et pourquoi pas un bonus financier non n&eacute;gligeable. Pour rappel, les places sur le podium rapportent respectivement 30'000, 12'000 et 7'000 dollars.</p>
<p>Vainqueur de la finale l'an dernier &agrave; Eugene, Ehammer vise encore le haut du classement dans l'une de ses meilleures disciplines. Mais il faudra certainement franchir 8m15 pour aller titiller les meilleurs du monde, emmen&eacute;s par le Grec Miltiadis Tentoglou.</p>
<h2>Lobalu de nouveau en forme</h2>
<p>La semaine pass&eacute;e, Lobalu a d&ucirc; renoncer &agrave; participer au Weltklasse pour des raisons de sant&eacute;. R&eacute;tabli, le champion d'Europe du 10'000 m se sent &agrave; nouveau en forme.</p>
<p>Angelica Moser cl&ocirc;turera presque la meilleure saison de sa carri&egrave;re dans la capitale belge. La championne d'Europe et d&eacute;tentrice du record de Suisse (4,88 m) d&eacute;fiera la cr&egrave;me internationale avant de participer, samedi prochain, &agrave; l'&eacute;v&eacute;nement Golden Fly &agrave; Gen&egrave;ve.</p>
<p>Les finales de la Diamond League &agrave; Bruxelles se d&eacute;roulent dans le Stade du Roi Baudoin nouvellement r&eacute;nov&eacute;. Les Belges ont &eacute;galement obtenu l'organisation des finales pour 2026. En 2025, 2027 et 2029, c'est Zurich qui accueillera les comp&eacute;titions et les meilleurs Suisses pourront participer plus facilement aux &eacute;preuves.</p>
<p>Parmi les &eacute;preuves &agrave; suivre, on peut citer deux courses hors Diamond League avec le 400 m et le 200 m dames. Pourquoi? Eh bien parce que Sydney McLaughlin-Levrone sera l&agrave;. L'Am&eacute;ricaine, championne olympique et d&eacute;tentrice du record du monde du 400 m haies, se fait si rare dans les meetings qu'il faut profiter quand elle est pr&eacute;sente. Elle aimerait clore sa saison en am&eacute;liorant son record sur 400 m (48''74) vendredi et celui du 200 m(22''07) samedi.</p>

Trois Suisses en lice lors de la finale de la Diamond League

<p>Contraint d&rsquo;aller jusqu&rsquo;aux tirs au but au tour pr&eacute;c&eacute;dent &agrave; Del&eacute;mont, le FC Sion esp&egrave;re vivre une soir&eacute;e plus paisible face &agrave; une autre formation de Promotion League. Nouvelle recrue du club, le Russe Anton Miranchuk ne sera pas du voyage.</p>
<p>Yverdon affrontera, pour sa part, une &eacute;quipe de 2e ligue inter. Elimin&eacute;s l&rsquo;an dernier au 1er tour par Rapperswil-Jona, les Vaudois r&ecirc;vent sans doute de r&eacute;ussir un parcours aussi brillant qu&rsquo;il y a trois ans qui les avait men&eacute;s jusqu&rsquo;en demi-finales.</p>
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<div class="link-preview__badge"><span>Football</span></div>
<div class="link-preview__title"><span>Un Fribourgeois face &agrave; Young Boys</span></div>
<div class="link-preview__description"><span>Un jeune Fribourgeois s'appr&ecirc;te &agrave; affronter son ancien club, Young Boys, en Coupe de Suisse de football. Basile Ogouvide joue &agrave; Vevey-Sports.</span></div>
</div>
</a></div>
<p>A noter que le FC Monthey (1&egrave;re ligue) accueillera ce vendredi soir Etoile-Carouge (Challenge League) : les Valaisans, qui viennent de signer leur premier succ&egrave;s de la saison en championnat, sont entra&icirc;n&eacute;s par le Fribourgeois Lucien D&eacute;nervaud.&nbsp;</p>

Sion et un entraîneur fribourgeois en lice ce vendredi

<p>Deux victoires et une d&eacute;faite aux tirs aux buts, voil&agrave; le bon bilan de Fribourg-Gott&eacute;ron apr&egrave;s trois de ses six matchs dans la phase de groupes de la Ligue des Champions. Hier soir &agrave; Klagenfurt, les Dragons se sont ais&eacute;ment impos&eacute;s 4 &agrave; 0. Face aux Autrichiens, ce sont Samuel Walser, auteur d'un doubl&eacute;, et les Su&eacute;dois Marcus S&ouml;rensen et Jacob de la Rose qui ont fait trembler les filets. Autre satisfaction dans le camp fribourgeois, le premier blanchissage de la saison pour le gardien Reto Berra. Le portier a gagn&eacute; plusieurs duels en face &agrave; face avec les attaquants autrichiens.</p>
<p><iframe width="100%" height="315" src="https://www.youtube.com/embed/nwF8OjygCmw?si=Xjz7z3s249bQGjy1" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>
<p>Gr&acirc;ce &agrave; ce succ&egrave;s, Fribourg-Gott&eacute;ron remonte &agrave; la 3&egrave;me place. Parmi les 24 &eacute;quipes, seuls les Su&eacute;dois de F&auml;rjestad ont sign&eacute; trois victoires dans le temps r&eacute;glementaire. Pour rappel, il faut terminer parmi les 16 meilleurs clubs pour se qualifier ensuite pour les 8&egrave;mes de finale. Pour l'heure, tous les clubs suisses y figurent.&nbsp;</p>
<p>Pour leur prochain match, les joueurs de Pat Emond affronteront les Tch&egrave;ques de Trinec samedi &agrave; 17h &agrave; l'ext&eacute;rieur. Ensuite, place d&egrave;s mardi 17 septembre au championnat de National League avec la r&eacute;ception d'Ajoie &agrave; la BCF Arena.&nbsp;</p>
<div class="link-preview-container"><a class="link-preview" href="https://frapp.ch/fr/articles/stories/champions-league-triple-de-suomela" target="_blank" rel="noopener"><img class="frapp-img" src="https://media.frapp.ch/image/2024/09/1111646/conversions/20240912223133351-500x281.jpg" border="0" />
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<div class="link-preview__badge"><span>Hockey sur glace</span></div>
<div class="link-preview__title"><span>3 sur 3 pour les Romands</span></div>
<div class="link-preview__description"><span>Les clubs romands ont gagn&eacute; jeudi soir en Champions League. Le LHC a battu Ilves Tampere 7-2 &agrave; Malley, Gen&egrave;ve s'est d&eacute;fait de Storhamar 4-3 tab et Fribourg a domin&eacute; Klagenfurt 4-0.</span></div>
</div>
</a></div>
<p></p>
<p></p>

Une belle victoire de Gottéron et un blanchissage pour Berra

                  <p>151e mondial, celui qui a remporté deux Challengers cette année et qui a été à deux points de se hisser dans le tableau principal de l&#8217;US Open affrontera Ignacio Buse (ATP 212). Le deuxième simple opposera Marc-Andrea Hüsler (ATP 171) au no 1 péruvien Juan Pablo Varillas (ATP 179).</p>
                  <h2>Dominic Stricker écarté en simple</h2>
                  <p>Le gaucher zurichois a été préféré à Dominic Stricker pour une place de titulaire en simple vendredi. Tombé à 336e place mondiale, le Bernois traverse une période bien difficile. De retour sur les courts depuis le mois de juin après sa blessure au dos, il souffre d&#8217;un manque de confiance évident.</p>
                  <p>Il la retrouvera peut-être samedi en double aux côtés de Marc-Andrea Hüssler avec lequel il avait conquis le titre à Gstaad en 2021. Le capitaine Severin Lüthi espère que les trois hommes pourront conclure avant les deux derniers simples et offrir ainsi à leurs couleurs une revanche sur la défaite concédée en mars 2020 à Lima. Lors de cette confrontation, la Suisse avait aligné Henri Laaksonen et Sandro Ehrat en simple alors que dans le camp adverse Juan Pablo Varillas était déjà là.</p>
                  <h2>Un no 1 péruvien à la peine en indoor</h2>
                  <p>60e mondial en 2023 après un huitième de finale à Roland-Garros, le joueur de 28 ans ne présente toutefois aucune référence en indoor. Marc-Andrea Hüsler devrait logiquement s&#8217;imposer dans le match clé de cette rencontre. Si elle bat le Pérou comme la logique le voudrait, la Suisse disputera les Qualifiers en 2025 qui pourraient, pourquoi pas, lui ouvrir les portes du Final Four en fin d&#8217;année.</p>
          

Coupe Davis: Kym ouvre les feux

<p>Lausanne a sign&eacute; sa deuxi&egrave;me victoire en trois matches de CHL. Et surtout les Lausannois ont enfin marqu&eacute; plus de deux buts dans un match de Coupe d'Europe.</p>
<p>Lausanne a pris les devants et marqu&eacute; deux fois pendant le tiers initial. D&eacute;j&agrave; auteur de l'ouverture du score (12e), Antti Suomela y est all&eacute; de son doubl&eacute; &agrave; la 34e sur un power-play pour le 3-1. Dans les rangs finlandais, c'est le bien nomm&eacute; Eemeli Suomi qui a inscrit deux buts, dont le 3-2 &agrave; la 47e. Heureusement pour les Vaudois, Michael Raffl a redonn&eacute; deux longueurs d'avance aux siens &agrave; la 49e. Ilves Tampere a sorti son gardien et les Vaudois ont pu ajouter deux r&eacute;ussites, avant que Suomela n'ajoute un but pour son tripl&eacute;. Le LHC se d&eacute;place samedi en Hongrie avec 7 points au compteur.</p>
<p>Exil&eacute; &agrave; Vi&egrave;ge, Gen&egrave;ve n'a pas &eacute;t&eacute; aussi prolifique que son meilleur ennemi. Mais les Genevois ont tout de m&ecirc;me fini par remporter une partie o&ugrave; ils &eacute;taient men&eacute;s 2-0. L'homme de la rencontre c&ocirc;t&eacute; grenat se nomme Michael Spacek, l'ancien attaquant d'Ambri a tout d'abord permis &agrave; son &eacute;quipe de revenir au score gr&acirc;ce &agrave; un doubl&eacute;. Puis il a servi Jooris pour le 3-2 de la 52e. Seulement les tenants du titre ont vu les Norv&eacute;giens &eacute;galiser &agrave; la 59e pour forcer une prolongation qui ne donna rien. Tout s'est jou&eacute; aux tirs au but et Descloux s'est montr&eacute; intraitable, pendant que Spacek et Praplan ont trouv&eacute; la faille. Les Aigles comptent 3 points en autant de parties.</p>
<p>Fribourg a connu une soir&eacute;e bien tranquille &agrave; Klagenfurt pour un succ&egrave;s 4-0. Samuel Walser a inscrit un doubl&eacute; et Reto Berra s'est offert un blanchissage. Les Dragons comptent 7 points comme Lausanne. Ils seront &agrave; Trinec samedi pour leur quatri&egrave;me partie de cette CHL.</p>

3 sur 3 pour les Romands

<p>Emmen&eacute;e par les m&eacute;daill&eacute;s de Paris Franziska Matile-D&ouml;rig, Flurina Rigling et Celine van Till, l&rsquo;&eacute;quipe de paracyclisme nourrit &agrave; nouveau de grandes ambitions. En cyclisme, les meilleures chances seront pour Stefan K&uuml;ng et Stefan Bissegger dans le contre-la-montre. Pour la course sur route, le leader de l&rsquo;&eacute;quipe Marc Hirschi pourra compter sur le concours de K&uuml;ng bien s&ucirc;r, mais aussi de Mauro Schmid, de Silvan Diller, de Johan Jacobs et de Yannis Voisard.</p>
<p>En l&rsquo;absence de Marlene Reusser, Caroline Baur, Elise Chabbey, Elena Hartmann et Noemi R&uuml;egg ont &eacute;t&eacute; retenues pour la course sur route. Elena Hartmann disputera &eacute;galement le contre-la-montre.</p>

Championnats du monde: avec 40 Suisses

                  <p>Un remplaçant sera désigné rapidement, a fait savoir l'organisateur. "Je suis vraiment déçu de devoir vous annoncer que je ne pourrai pas participer à la Laver Cup à Berlin la semaine prochaine, a expliqué Nadal sur le compte X/Twitter de la Laver Cup. Il s'agit d'une compétition par équipe. Pour vraiment soutenir l'équipe d'Europe, je devrais donner le meilleur de moi-même, mais en ce moment, il y a d'autres joueurs qui peuvent aider l'équipe à remporter la victoire."</p>
                  <p>La Laver Cup, qui oppose une équipe Europe à une équipe Monde, se déroulera du 20 au 22 septembre à Berlin. Nadal aurait dû compléter l'équipe européenne dirigée par Björn Borg, dont fait également partie Carlos Alcaraz et le champion olympique allemand Alexander Zverev. Il s'agit probablement de la dernière année sur le circuit pour l'homme aux 22 Grands Chelems.</p>
          

Laver Cup: sans Nadal

                  <p>Blessé depuis le début de l&#8217;année au genou mais très proche d&#8217;un retour en première équipe après trois apparitions avec les M21, le défenseur international de 32 ans s'est imposé l'an dernier comme l'un des atouts maîtres des Young Boys, Son nouveau positionnement en défense centrale avait procuré une plus grande assise à l'équipe.</p>
                  <p>Loris Benito a porté une première fois les couleurs bernoises de 2015 à 2019 avant de revenir au club à l&#8217;été 2022. Il a gagné quatre titres de champion et une Coupe de Suisse avec les Young Boys.</p>
          

Suisse: un cadre des Young Boys prolonge

                  <p>La Genevoise se prépare depuis deux ans à une course qui fait rêver tout en inspirant le respect. C'est dans son fief de Lorient qu'elle accueille Keystone-ATS, à deux mois de vivre son premier Vendée Globe, course autour du monde en solitaire, sans escale ni assistance. "Je me sens plutôt bien, glisse-t-elle d'emblée. On sort du chantier estival, on recommence tout juste à naviguer."</p>
                  <p>"On se rend compte que cela prend du temps de maintenir le niveau de fiabilité du bateau", l'Imoca TeamWork (ex-Charal), racheté à Jémémie Bayou en 2022. "On doit notamment valider les voiles du Vendée. C'est bien de solutionner les petits problèmes maintenant, avant de se concentrer sur la performance", souligne-t-elle.</p>
                  <p>"Il n'y a pas encore de gros stress. L'été sert à mettre le bateau au point, on fait des ateliers qui prennent du temps", explique Justine Mettraux, qui a repris l'entraînement fin août en compagnie d'une quinzaine de skippers préparant le Vendée Globe. Elle devra être installée aux Sables-d'Olonne au plus tard le 18 octobre.</p>
                  <h2>"Un aboutissement"</h2>
                  <p>Que représente le Vendée Globe à ses yeux? "C'est un aboutissement. C'est une des plus grandes compétitions dans la course au large en solitaire", répond la Genevoise de 38 ans. "J'ai la chance de me préparer dans de bonnes conditions, avec un bon bateau, de bons partenaires et une super équipe", se réjouit-elle.</p>
                  <p>"C'est super de pouvoir aborder un premier Vendée en espérant être compétitive", ajoute celle qui avait notamment terminé 4e de la Transat Jacques Vabre, transatlantique en double, au côté de Bertrand Delesne en 2017.</p>
                  <p>Cette compétitivité a évidemment un prix. "Pour toute la campagne, de 2022 à 2025, il faut compter environ 6 millions d'euros soit 2 millions par an. Les salaires constituent une grande partie: on est une dizaine à travailler sur le bateau. Il y a l'amortissement du bateau, les assurances, le matériel", précise-t-elle.</p>
                  <p>Quel résultat la satisferait? "Un top 10 serait satisfaisant. Mais c'est dur de tout anticiper, même si on a bien pu se préparer", souffle-t-elle. "Il y a des nouveaux bateaux qu'on ne connaît pas, il y a forcément une grosse concurrence, et il y a évidemment les impondérables", rappelle-t-elle.</p>
                  <p>"C'est difficile de se projeter pour un Vendée, il y a tellement d'aléas. On sait que tous les marins ne vont pas terminer la course, peut-être que ce sera mon cas. Il faut admettre qu'un abandon peut toujours se produire. On part pour deux mois et demi, pas pour deux semaines comme on en a l'habitude", lâche-t-elle.</p>
                  <p>Si elle vise le top 10, Justine Mettraux espère aussi remporter le classement helvétique. Oliver Heer étant peu ambitieux, c'est entre elle et Alan Roura (31 ans), 17e du dernier Vendée Globe, que cela se jouera. "La plupart du temps j'ai fini devant lui lorsque nous avons été opposés", rigole-t-elle.</p>
                  <h2>Un travail minutieux</h2>
                  <p>Une épreuve de deux mois et demi nécessite forcément une préparation minutieuse à tous les niveaux. Justine Mettraux travaille beaucoup sur le plan physique, aussi en dehors du bateau. La gestion du sommeil est également importante, même si "je n'a pas fait récemment de travail spécifique sur le sommeil. Mais j'ai amélioré l'ergonomie du bateau pour mieux pouvoir m'y reposer", précise-t-elle.</p>
                  <p>La Genevoise travaille aussi avec une nutritionniste. "Elle m'aide à mieux me nourrir à terre et aussi à préparer mon ravitaillement afin que j'aie tous les apports nécessaires, qu'il fasse chaud ou froid. Elle m'aide aussi à varier, c'est mieux lorsqu'on passe plus de 80 jours en mer", s'amuse-t-elle.</p>
                  <p>La préparation mentale est également primordiale pour une épreuve aussi longue dans la durée. "Je travaille avec le même psychologue du sport depuis une douzaine d'années. On a fait récemment un travail plus spécifique: il est venu à Lorient avec l'équipe, pour mieux voir ce dont j'aurais besoin pendant la course."</p>
                  <p>La navigatrice, qui emporte toujours avec elle un petit oeuf porte-bonheur, est en tout cas extrêmement détendue: "J'essaie de rester relax, j'apprécie que mon équipe le soit. Il y a beaucoup d'engagement physique, il faut être concentré, mais il faut agir dans le calme." Le calme avant la tempête...? Réponse dès le 10 novembre.</p>
          

Justine Mettraux prépare le Vendée Globe

<p>Victorieux dimanche de la derni&egrave;re &eacute;tape du Tour d&rsquo;Espagne, Stefan K&uuml;ng n&rsquo;a pas pu encha&icirc;ner dans son exercice pr&eacute;f&eacute;r&eacute; pour cueillir un troisi&egrave;me titre europ&eacute;en apr&egrave;s ses succ&egrave;s en 2020 et en 2021. Sous la pluie, le Thurgovien a &eacute;t&eacute; le plus rapide sur la premi&egrave;re partie du trac&eacute; long de 31,2 km. Il n&rsquo;a toutefois rien pu faire devant le finish d&rsquo;Edoardo Affini, un Lombard de 28 ans dont la derni&egrave;re victoire remontait &agrave; un contre-la-montre du Tour de Grande-Bretagne 2019. Son compatriote Mattia Cattaneo s&rsquo;est par&eacute; de bronze.</p>
<p>Titr&eacute; en 2022 et m&eacute;daill&eacute; d&rsquo;argent en 2023, Stefan Bissegger a conc&eacute;d&eacute; plus de 1&rsquo;30&rsquo;&rsquo; sur Affini pour se classer au 12e rang. Parti le dernier, l&rsquo;autre Thurgovien de l&rsquo;&eacute;quipe de Suisse a sans doute le coureur qui a d&ucirc; composer avec les conditions de course les plus difficiles.</p>
<p>A onze jours seulement du contre-la-montre des Championnats du monde de Zurich, bien des grands noms n&rsquo;avaient pas fait le d&eacute;placement en Belgique. On pense au Champion olympique Remco Evenepoel, au recordman du monde de l&rsquo;heure Filippo Gana et au tenant du titre Joshua Tarling.</p>
<p>Les Suissesses n'ont pas brill&eacute; en l'absence de la tenante du titre Marlen Reusser dans la course des dames. Sur les routes du Limbourg belge, Elena Hartmann et Noemi R&uuml;egg ont d&ucirc; se contenter respectivement des 14e et 16e rangs au terme des 31,3 km du parcours.</p>
<p>Le titre a &eacute;t&eacute; remport&eacute; par Lotte Kopecky. Devant son public, la Belge a devanc&eacute; de 43'' la N&eacute;erlandaise Ellen van Dijk. Le bronze est revenu &agrave; l'Autrichienne Christina Schweinberger.</p>

Küng en argent

<p>Le milieu d&eacute;fensif souffre d'une l&eacute;sion &agrave; une cheville. La dur&eacute;e de son indisponibilit&eacute; est de huit &agrave; dix semaines, souligne l'actuel 9e du classement de Super League sur son site internet.</p>
<p>Le Vaudois de 29 ans s'est bless&eacute; ce mardi &agrave; l'entra&icirc;nement, pr&eacute;cise le LS. Son absence vient s'ajouter &agrave; celles de Simone Pafundi et d'Antoine Bernede, qui sont &eacute;galement au repos forc&eacute; pour plusieurs semaines.</p>

Un absent de plus au LS

<p>Il a jou&eacute; avec Jonathan Kazadi, Roberto Kovac ou encore Arnaud Cotture. Il est aujourd'hui le nouveau manager g&eacute;n&eacute;ral du Fribourg Olympic. &Acirc;g&eacute; de 44 ans, Oliver Vogt est entr&eacute; en fonction au d&eacute;but du mois d'ao&ucirc;t. Pour celui qui a jou&eacute; &agrave; la salle Sainte-Croix puis &agrave; Saint-L&eacute;onard entre 2006 et 2012, il s'agit quasiment d'un retour &agrave; la maison. "Les Fribourgeois sont tr&egrave;s honn&ecirc;tes, &ccedil;a me convient tr&egrave;s bien. Je suis heureux de retrouver cette mentalit&eacute; fribourgeoise", estime celui qui succ&egrave;de au Broyard Corentin Reynaud qui aura occup&eacute; cette fonction durant pr&egrave;s de trois ans.&nbsp;</p>
<p>Apr&egrave;s sa carri&egrave;re de basketteur, Oliver Vogt est parti travailler aux Etats-Unis. Avant de revenir en Suisse romande. L'habitant de Bussigny, pr&egrave;s de Lausanne, a &eacute;galement &eacute;t&eacute; conseiller financier. Et justement, Fribourg Olympic a r&eacute;cemment annonc&eacute; <a href="https://frapp.ch/fr/articles/stories/perte-financiere-pour-olympic" target="_blank" rel="noopener">un d&eacute;ficit de 122'000 francs</a> pour la saison derni&egrave;re, malgr&eacute; trois troph&eacute;es au compteur: Coupe de Suisse, Coupe de la Ligue et championnat. Le B&acirc;lois prend cette situation comme un challenge.</p>
<p><iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2024/09/1110863/vXYQGsvI0dPTkrTRT72FlUN4tSkhDC5yE77iRs4m.mp3&amp;audio_title=Oliver Vogt - les finances&amp;audio_date=12.09.2024" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe></p>
<p></p>
<div class="link-preview-container"><a class="link-preview" href="https://frapp.ch/fr/articles/stories/sbl-olympic-sacre-1" target="_blank" rel="noopener"><img class="frapp-img" src="https://media.frapp.ch/image/2024/05/1006759/conversions/YrmjRNJyuOQ9SfxM3wLpjGqIxFNKVpVyWZBvQErM-500x281.jpg" border="0" />
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<div class="link-preview__badge"><span>Basketball</span></div>
<div class="link-preview__title"><span>6 &agrave; la suite pour Olympic!</span></div>
<div class="link-preview__description"><span>Olympic a imit&eacute; Elfic en devenant champion de Suisse pour la sixi&egrave;me fois d'affil&eacute;e, en battant Massagno 3-1 en finale des play-off de SBL.</span></div>
</div>
</a></div>
<p>Employ&eacute; &agrave; 100% au Fribourg Olympic, Oliver Vogt a des projets et des id&eacute;es pleins la t&ecirc;te. "Je veux que les gens aiment venir &agrave; la salle. Pas seulement pour le basket." Premi&egrave;re nouveaut&eacute;? La mise sur pied d'une pr&eacute;sentation de l'&eacute;quipe avant le d&eacute;but de la saison. Elle aura lieu ce samedi &agrave; la salle Saint-L&eacute;onard. Avec deux objectifs selon Oliver Vogt:&nbsp;</p>
<p><iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2024/09/1110851/Pq0Ac8YsPUQElHQo9tEkR30dcgrfCJJg5tXu5Lsc.mp3&amp;audio_title=Oliver Vogt - 2 buts pour samedi&amp;audio_date=12.09.2024" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe></p>
<p>Pour Fribourg Olympic, la saison d&eacute;butera jeudi prochain (19 septembre &agrave; Antalya en Turquie) avec les demi-finales des qualifications de la Ligue des Champions.&nbsp;</p>
<p><strong>Pr&eacute;sentation de l'&eacute;quipe 2024/2025 du Fribourg Olympic ce samedi &agrave; la salle Saint-L&eacute;onard d&egrave;s 15h. Avec un match interne &agrave; 17h. Animations et entr&eacute;e gratuite.&nbsp;</strong></p>

Presque comme un retour à la maison pour Oliver Vogt

<p>L'ex-entra&icirc;neur de Chelsea Mauricio Pocchetino retrouve une &eacute;quipe. Il devient le nouveau s&eacute;lectionneur des &Eacute;tats-Unis. Il remplace Gregg Berhalter, limog&eacute; en juillet apr&egrave;s l'&eacute;limination en phase de groupes de la Copa America. L'argentin officiera pour la premi&egrave;re fois &agrave; la t&ecirc;te d'une &eacute;quipe nationale.</p>
<p>"Mauricio est un gagnant en s&eacute;rie qui a une profonde passion pour le d&eacute;veloppement des joueurs et une capacit&eacute; av&eacute;r&eacute;e &agrave; construire des &eacute;quipes coh&eacute;rentes et comp&eacute;titives", a d&eacute;clar&eacute; Matt Crocker, le directeur sportif de la F&eacute;d&eacute;ration am&eacute;ricaine. "Ses r&eacute;sultats parlent d'eux-m&ecirc;mes et je suis convaincu qu'il est le meilleur choix pour exploiter l'immense potentiel de notre talentueuse &eacute;quipe", a poursuivi Crocker.</p>
<p>Pays-h&ocirc;te de la Copa America, les Etats-Unis ont &eacute;t&eacute; victimes d'une piteuse &eacute;limination d&egrave;s les phases de poules apr&egrave;s deux d&eacute;faites (Uruguay, Panama) et une victoire (Bolivie). Team USA esp&egrave;re afficher un tout autre visage lors de la Coupe du monde 2026 qu'elle organisera conjointement avec le Mexique et le Canada.</p>
<h2>"Talent et potentiel"</h2>
<p>Aucun d&eacute;tail sur la dur&eacute;e de son contrat n'a &eacute;t&eacute; donn&eacute;, mais Pochettino devra diriger l'&eacute;quipe au moins jusqu'&agrave; la fin de la prochaine Coupe du monde. "Je vois un groupe plein de talent et de potentiel, et ensemble, nous allons construire quelque chose de sp&eacute;cial dont toute la nation pourra &ecirc;tre fi&egrave;re", a-t-il r&eacute;agi.</p>
<p>Pochettino a quitt&eacute; Chelsea en mai apr&egrave;s une seule saison &agrave; la t&ecirc;te de l'&eacute;quipe. Il avait pr&eacute;c&eacute;demment entra&icirc;n&eacute; Paris-Saint-Germain - o&ugrave; il a connu le trio d'attaquants Messi/Neymar/Mbapp&eacute; -, Tottenham - qu'il avait men&eacute; en finale de la Ligue des champions en 2019 -, Southampton et l'Espanyol de Barcelone. Il est le deuxi&egrave;me non-Am&eacute;ricain &agrave; &ecirc;tre nomm&eacute; &agrave; ce poste apr&egrave;s l'Allemand J&uuml;rgen Klinsmann, parti en 2016.</p>

Pochettino retrouve une équipe outre-Atlantique

                  <p>Les deux équipes ont toutes les deux mené au score. Cueillis à froid sur une réussite du joueur de l&#8217;AC Milan Tijjani Reijnders, les Allemands ont renversé la situation avant la pause grâce à Deniz Undav et à leur capitaine Joshua Kimmich. Mais Denzel Dumfries devait surgir pour l&#8217;égalisation à la 51e minute. Larges vainqueurs respectivement de la Hongrie et de la Bosnie-Herzégovine trois jours plus tôt, les Allemands et les Néerlandais ne doivent plus nourrir de grandes craintes quant à leur qualification pour les quarts de finale.</p>
                  <p> A Wembley, Harry Kane a honoré de la plus belle des manières sa 100e sélection en équipe d&#8217;Angleterre. L&#8217;attaquant du Bayern a inscrit en seconde période un doublé pour permettre aux "Three Lions" de battre la Finlande 2-0 dans une rencontre de Ligue B.</p>
                  <p>Harry Kane a marqué ses 67e et 68e buts pour les "Three Lions". A 31 ans, celui qui a joué pour la première fois en sélection en mars 2015, n&#8217;a sans doute pas encore fini de porter l&#8217;Angleterre.</p>
          

Ligue des nations: nul à Amsterdam

<p>La Coupe de Suisse propose tous les ans des rencontres fa&ccedil;on "David contre Goliath", et ce week-end un tel affrontement aura lieu &agrave; Vevey. Young Boys, pensionnaire de SuperLeague, se d&eacute;place sur le terrain du Vevey-Sports, troisi&egrave;me de Promotion League, le troisi&egrave;me &eacute;chelon national.</p>
<p>Mais une surprise n'est pas &agrave; &eacute;carter dans ce type de match, o&ugrave; le petit poucet n'a rien &agrave; perdre. D'autant plus que Vevey compte dans ses rangs des joueurs confirm&eacute;s, dont un ex-pensionnaire de l'acad&eacute;mie d'YB, le Fribourgeois Basile Ogouvide.</p>
<h2>Les retrouvailles&nbsp;</h2>
<p>Le d&eacute;fenseur de 20 ans est le petit nouveau au Stade de Coppet &agrave; Vevey, mais pas le moins exp&eacute;riment&eacute;. Originaire du Schoenberg &agrave; Fribourg, il a tout d'abord fait ses armes au Team AFF, avant d'int&eacute;grer le centre de formation d'YB en 2019. Un club qu'il quittera finalement quatre ans plus tard. Alors forc&eacute;ment, affronter son club formateur aura une saveur particuli&egrave;re pour lui.</p>
<p><iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2024/09/1110101/6ZeQDqgYgoqZd6S4O7KqpnoGWWQluTPSYQpoZZyK.mp3&amp;audio_title=Basile Ogouvide&amp;audio_date=10.09.2024" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe>Dans la capitale, il remporte la Coupe de Suisse M18 en 2022. Quelque temps apr&egrave;s, le d&eacute;fenseur fait le choix original de s'envoler pour Malte et l'&eacute;quipe de Santa Lucia en premi&egrave;re division. Il y joue pendant six mois avant de finalement revenir en Suisse cet &eacute;t&eacute; et de s'engager avec Vevey, qui venait de monter en Promotion League.</p>

Un Fribourgeois face à Young Boys

<p>Les Dragons sont de retour aux affaires. Avec deux matchs de Champions League &agrave; leur actif, les Fribourgeois reprennent peu &agrave; peu leurs marques &agrave; quelques jours du d&eacute;but du championnat suisse de hockey sur glace. Nouveau coach, nouveaux joueurs, nouvelle saison; la d&eacute;faite contre Lausanne en demi-finale de l'exercice pr&eacute;c&eacute;dent n'est plus qu'un souvenir. Mais attention, il ne faut surtout pas se torturer avec ce r&eacute;sultat d&eacute;cevant, mais en m&ecirc;me temps, il faut en tirer des le&ccedil;ons. Et pour ne pas oublier, un film sort au cin&eacute;ma.</p>
<h2>Until the End - Jusqu'&agrave; la fin</h2>
<p>Une saison r&eacute;guli&egrave;re 2023-2024 brillante, le d&eacute;part d'une l&eacute;gende du club, une patinoire remplie chaque match, tous les ingr&eacute;dients sont r&eacute;unis pour y croire: cette ann&eacute;e, c'est la bonne, cette ann&eacute;e, c'est le titre ! Pour documenter tout &ccedil;a, une &eacute;quipe de tournage a suivi les Dragons durant les demi-finales de playoffs face &agrave; Lausanne. Sauf que tout ne se passe pas comme pr&eacute;vu. Les Fribourgeois et leur ancien entra&icirc;neur Christian Dub&eacute; ne parviendront jamais &agrave; trouver la solution.</p>
<p>Pendant un peu plus de 50 minutes, col&egrave;res, larmes, adr&eacute;naline et tension se m&eacute;langent et font vivre aux spectateurs l'int&eacute;rieur du vestiaire des Dragons aux moments les plus d&eacute;cisifs de la saison. Un film de Fribourg-Gott&eacute;ron et Bytheway.studio, r&eacute;alis&eacute; par Fabian Jobin, projet&eacute; en avant-premi&egrave;re priv&eacute;e ce mardi 10 septembre &agrave; 18:30 au cin&eacute;ma Arena &agrave; Fribourg. Le documentaire sera par la suite diffus&eacute; &agrave; l'Arena et au Cinemotion de Bulle et Payerne d&egrave;s le 11 septembre.</p>
<p><strong>Une petite mise en bouche :</strong></p>
<p><strong></strong></p>
<p><iframe width="100%" data-ratio="16/9" src="https://www.youtube.com/embed/On-PrAbrYkU?si=rbuYIuMVS_RT_HCD" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>

"Jusqu'à la fin", les coulisses de Gottéron

<p>Il rejoint imm&eacute;diatement et sans frais de transfert la formation de Super League du canton de Zurich. Les clubs l'ont annonc&eacute; lundi.</p>
<p>Si l'on conna&icirc;t Fabian Frei, c'est surtout pour ses passages au FC B&acirc;le o&ugrave; il est le joueur le plus cap&eacute; avec 543 matches. Avec les Rh&eacute;nans il compte cinq titres de champion et trois Coupes de Suisse. Il a jou&eacute; pour St-Gall en 2009 et 2011 et &agrave; Mayence en Bundesliga de 2015 &agrave; 2018.</p>
<p>A B&acirc;le, il ne faisait plus partie des cadres. Frei parle d'un sentiment &eacute;trange de ne plus faire partie du FCB et il ajoute: "Je suis d'autant plus heureux de me retrouver &agrave; Winterthour et de pouvoir apporter toute mon exp&eacute;rience dans un club o&ugrave; j'ai fait mes juniors. Je pense que j'ai encore quelques bons matches de haut niveau dans les jambes."</p>

Retour aux sources pour Frei

<p>Une r&eacute;ussite de Kolo Muani &agrave; la 29e et une belle frappe d'Ousmane Dembele &agrave; la 57e ont permis aux hommes de Didier Deschamps de remporter cette partie. Souvent raill&eacute; pour le manque de pr&eacute;cision de ses tirs, le joueur du PSG a &eacute;t&eacute; excellent dans la ville des Gones.</p>
<p>Les Tricolores ont eu d'autres possibilit&eacute;s d'aggraver le score, notamment par Kylian Mbapp&eacute;, entr&eacute; &agrave; la 67e, mais le portier belge Koen Casteels a &eacute;t&eacute; tr&egrave;s bon.</p>
<p>Il fallait se reprendre apr&egrave;s le revers conc&eacute;d&eacute; face &agrave; l'Italie, alors que la France avait tr&egrave;s bien commenc&eacute; la rencontre en marquant le but le plus rapide de son histoire par Barcola.</p>
<p>Dans l'autre rencontre de ce groupe 2 de la Ligue A, l'Italie a battu Isra&euml;l 2-1 &agrave; Budapest. Les Transalpins sont en t&ecirc;te de ce groupe.</p>

La France reste le bourreau de la Belgique

                  <p>Après leur entame ratée dans la Ligue des nations avec deux défaites 2-0 au Danemark et 4-1 contre l'Espagne, les quarts de finaliste de l'Euro se retrouvent le dos au mur avant de se déplacer en Serbie le 12 et de recevoir le Danemark à St-Gall le 15.</p>
                  <p>"Nous devons prendre 6 points lors de ces deux matches", commande Manuel Akanji, capitaine d'un soir dimanche à Genève et qui n'a pas pu empêcher son équipe de concéder deux buts à... onze contre dix en fin de rencontre. Ce dernier quart d'heure contre les Champions d'Europe fut particulièrement affligeant pour une équipe qui avait entraîné avec elle le public genevois lors de sa folle sarabande de la fin de la première période.</p>
                  <p>L'absence de Granit Xhaka provoquée par ce carton rouge vraiment stupide à Copenhague, le manque de souffle de plusieurs héros de l'Euro - on pense en premier lieu à Ricardo Rodriguez, à Remo Freuler et à Michel Aebischer - ont, il est vrai, bien compliqué la tâche de Murat Yakin dimanche soir. Le forfait de dernière minute de Silvan Widmer, blessé à l'échauffement, qui s'ajoutait à celui de Dan Ndoye, devait encore réduire sa marge de manœuvre.</p>
                  <h2>Zakaria le grand perdant</h2>
                  <p>Mais le coup le plus dur pour le sélectionneur fut la performance sans relief livrée par Denis Zakaria. Le capitaine de l'AS Monaco est le grand perdant de cette rencontre. Son remplacement à la 62e minute sonnait comme une sanction. "Ce n'était pas un match pour lui, lance Murat Yakin. Denis est un joueur qui perce les lignes et non un joueur qui doit ordonner le jeu à onze contre dix comme aurait pu le faire Xhaka."</p>
                  <p>Murat Yakin aurait sans doute été plus inspiré d'aligner le Genevois en défense. A Copenhague, il avait hésité à le titulariser à la place de Nico Elvedi. Dimanche, Gregory Wüthrich, appelé à remplacer le Zurichois, a dévoilé bien des limites. Le public genevois a pu se demander si Steve Rouiller, le patron de la défense du Servette FC, n'aurait pas remplacé avantageusement le joueur du Sturm Graz...</p>
                  <h2>Un match couperet</h2>
                  <p>A Leskovac face à la Serbie, son meilleur ennemi qui réservera sans doute un accueil très particulier à Granit Xhaka, la Suisse s'apprête à vivre une soirée bien difficile. Mais cette rencontre sonne déjà comme un match couperet.</p>
                  <p>Avec une défaite, le risque d'une relégation directe en Ligue B de la Ligue des nations sera plus encore plus oppressant. Et si la Suisse ne gagne pas ce match, son statut de tête de série pour le tirage au sort du tour préliminaire de la Coupe du monde sera encore davantage remis en question.</p>
                  <p>Murat Yakin est parfaitement conscient des enjeux d'octobre. "Nous allons revenir plus fort", promet-il. Il espère que Zeki Amdouni, peut-être son meilleur homme dimanche, pourra s'affirmer ces toutes prochaines semaines à Benfica, que Ruben Vargas retrouvera un temps de jeu plus conséquent à Augsbourg malgré son refus de prolonger son contrat et, surtout, que Dan Ndoye aura soigné sa blessure musculaire pour reprendre ses numéros de voltige qui avaient enchanté les supporters suisses à l'Euro. Le salut de l'équipe de Suisse passe en premier lieu par ce trio.</p>
          

L'équipe de Suisse sous pression

<p>Quelle maestria de la Fribourgeoise de 20 ans. Derni&egrave;re du 800 m du Weltklasse jeudi dernier &agrave; Zurich en 2'06''17, Audrey Werro a parfaitement su mettre cette contre-performance de c&ocirc;t&eacute; ce lundi.</p>
<p>Alors que l'on attendait la Fran&ccedil;aise R&eacute;nelle Lamote,<a href="https://www.rts.ch/sport/video/athletisme/15150086-bellinzona-sui-finale-800m-dames-audrey-werro-sui-simpose-et-etablit-un-nouveau-record-de-suisse.html" target="_blank" rel="noopener"> c'est bien la Fribourgeoise qui a jou&eacute; les patronnes sur ce double tour de piste.</a> Dans la ligne droite oppos&eacute;e, la Fribourgeoise a profit&eacute; de sa grande foul&eacute;e pour prendre le large et ne plus jamais l&acirc;cher la t&ecirc;te. Elle a coup&eacute; la ligne en 1'57''76 pour retrancher 0''21 au record de Suisse qui &eacute;tait la propri&eacute;t&eacute; de Selina B&uuml;chel en 1'57''95 depuis 2015 &agrave; Paris. "J'ai senti avant la course que j'&eacute;tais en forme", a-t-elle expliqu&eacute; au micro de RSI.</p>
<p><iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2024/09/1109564/a3J8PuZodoDYeyBtVxYArLhIV18Ev6JDqTbEehvu.mp3&amp;audio_title=Audrey Werro&amp;audio_date=10.09.2024" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe></p>
<p>Les trois autres Suissesses ont fini plus loin. Valentina Rosamilia a pris la cinqui&egrave;me place, Rachel Pellaud la sixi&egrave;me et Lore Hoffmann a termin&eacute; huiti&egrave;me.Pour la plupart des athl&egrave;tes, il s'agissait du dernier meeting de la saison. En sprint, Mujinga Kambundji s'est montr&eacute;e g&eacute;n&eacute;reuse en courant le 100 m et le 200 m. La d&eacute;tentrice du record suisse a d'abord pris la deuxi&egrave;me place sur 100 m en 11''14, avant de se classer &eacute;galement deuxi&egrave;me sur le demi-tour de piste en 22''69.</p>

Werro: "Je voulais finir la saison en beauté"

<p>Le d&eacute;fi suisse a valid&eacute; son ticket pour le dernier carr&eacute; avant m&ecirc;me de disputer son ultime r&eacute;gate dans le Round Robin, r&eacute;gate qui n'a m&ecirc;me pas eu lieu.</p>
<p>Condamn&eacute;s &agrave; s'imposer face &agrave; Britannia pour revenir &agrave; hauteur d'Alinghi et entretenir le suspense, les Fran&ccedil;ais d'Orient Express ont connu la d&eacute;faite dans le premier match programm&eacute; lundi. Ils terminent cette phase pr&eacute;liminaire avec un succ&egrave;s &agrave; leur compteur, alors qu'Alinghi en comptait deux avant son ultime duel.</p>
<p>Alinghi a m&ecirc;me d&eacute;croch&eacute; sans r&eacute;gater un troisi&egrave;me point en profitant de la disqualification des Italiens de Luna Rossa, sanctionn&eacute;s pour avoir d&eacute;pass&eacute; les limites du plan d'eau. Luna Rossa devra revenir sur l'eau en fin de journ&eacute;e pour affronter Britannia en barrage afin de d&eacute;signer le vainqueur du Round Robin.</p>
<p>Vainqueur une fois d'Orient Express et une fois d'American Magic durant le Round Robin, Alinghi accompagne Luna Rossa, Britannia et American Magic en demi-finale. Le vainqueur de la phase pr&eacute;liminaire aura l'avantage de pouvoir choisir son adversaire des demi-finales, pr&eacute;vues &agrave; partir de samedi au meilleur des neuf r&eacute;gates.</p>

Alinghi en demi

<p>Les hauts et les bas d'un sportif de haut niveau: c'est ce qu'a connu Esteban Petignat. Le footballeur fribourgeois n'est &acirc;g&eacute; que de 24 ans, mais il connait d&eacute;j&agrave; bien la r&eacute;alit&eacute; parfois compliqu&eacute;e du sport professionnel. A 19 ans, il r&eacute;alise le doubl&eacute; Coupe de Suisse et Super League avec les Young Boys, lors de la saison 2019-2020. Par la suite, il a quelque peu disparu des radars.&nbsp;</p>
<p>En cause, une d&eacute;chirure des ligaments crois&eacute;s du genou qui le stoppe net dans sa progression. Son retour au plus haut niveau est plus compliqu&eacute; que pr&eacute;vu, et YB d&eacute;cide de ne pas prolonger son contrat. Apr&egrave;s trois ans, il rebondit &agrave; Cham, en Promotion League, avant d'arriver cet &eacute;t&eacute; au FC Bulle. "Je savais pas trop ce que je voulais faire. Au final, j'ai continu&eacute; &agrave; m'entrainer et Bulle est venu sonner &agrave; la porte", commente le Staviacois, qui a pens&eacute; &agrave; raccrocher les crampons.</p>
<p><strong>Ecouter le sujet complet:</strong></p>
<p><iframe style="border: none; overflow: hidden; width: 100%;" src="https://embed.frapp.ch/audio/index.html?audio_url=https://media.frapp.ch/audio//2024/09/1109654/eCPovdpJKggkBhCFHXbtExPy1mnvG1SEeIHTD4pE.mp3&amp;audio_title=L'Instant Sport du 10 septembre 2024&amp;audio_date=10.09.2024" data-ratio="2.5/1" frameborder="0"></iframe></p>
<p></p>

Esteban Petignat : "J'ai failli arrêter le foot"

<p>Le no 1 mondial avait entam&eacute; l'US Open avec une pol&eacute;mique, apr&egrave;s la r&eacute;v&eacute;lation de son blanchiment par l'Agence internationale pour l'int&eacute;grit&eacute; du tennis (ITIA) apr&egrave;s deux contr&ocirc;les positifs au mois de mars. Plusieurs joueurs ont d&eacute;nonc&eacute; l'opacit&eacute; du processus et le sentiment d'une justice antidopage &agrave; deux vitesses selon leur statut.</p>
<p>- Quel troph&eacute;e a &eacute;t&eacute; le plus difficile &agrave; gagner entre l'Open d'Australie et celui-ci ?</p>
<p>"On ne peut pas vraiment comparer... Melbourne est venu comme un soulagement, parce que je travaillais dur pour gagner un (tournoi du) Grand Chelem, mais on n'est jamais s&ucirc;r de pouvoir en gagner un. Ici c'&eacute;tait difficile, notamment &agrave; cause de l'avant-tournoi. J'ai l'impression d'avoir grandi, progress&eacute;, chaque match augmentant mon niveau de confiance. J'avais un peu plus de pression ici qu'en Australie."</p>
<p>- Avez-vous r&eacute;ussi &agrave; d&eacute;passer &agrave; un moment du tournoi la pol&eacute;mique li&eacute;e &agrave; votre affaire antidopage ?</p>
<p>"Oui et cela gr&acirc;ce &agrave; mes proches qui &eacute;taient l&agrave; au quotidien, des gens qui me connaissent depuis mon enfance, ma famille et mon &eacute;quipe qui m'encouragent tous les jours. J'essaie de toujours rester avec eux, surtout dans les moments difficiles, car je sais qu'ils sont alors une aide pr&eacute;cieuse. (L'affaire) est toujours un peu dans mon esprit. Mais quand je suis sur le court j'essaie de me concentrer sur mon jeu, de g&eacute;rer les choses le mieux possible. Ca n'a pas &eacute;t&eacute; facile mais je pense avoir fait un super boulot mentalement en restant pr&eacute;sent sur chaque point."</p>
<p>- Avec Carlos Alcaraz, vous avez gagn&eacute; tous les tournois du Grand Chelem cette ann&eacute;e, aucun n'&eacute;tant remport&eacute; par le Big 3 (Federer, Nadal, Djokovic) pour la premi&egrave;re fois depuis 2002...</p>
<p>"C'est bien de voir de nouveaux champions, de nouvelles rivalit&eacute;s. Il y aura toujours des joueurs pour me rendre meilleur, qui me battront &agrave; certains moments. Il faut alors trouver un moyen de les battre. Nous avons bien vu que tout n'&eacute;tait pas parfait aujourd'hui (dimanche), j'aurais pu mieux servir. Cela m'aide &agrave; comprendre que le travail n'est jamais termin&eacute;."</p>

"Un super boulot mentalement"

<p>Le Zurichois s'est impos&eacute; en barrage sur Leone Jei. Cette victoire lui permettra de viser une prime de 500'000 dollars en d&eacute;cembre &agrave; Gen&egrave;ve en cas de succ&egrave;s dans le GP.</p>
<p>Fuchs a certes commis une faute dans le "jump-off" &agrave; Spruce Meadows, apr&egrave;s avoir sign&eacute; l'un des trois doubles sans faute sur le parcours normal. Mais l'Irlandais Kenny Darragh (2e) et Cartello ont &eacute;t&eacute; p&eacute;nalis&eacute;s pour d&eacute;passement de temps en plus d'avoir fait tomber une perche, alors que l'Allemand Daniel Deusser (3e) a commis deux fautes Killer Queen en se montrant le plus rapide.</p>
<p>Steve Guerdat, qui montait Venard et non Dynamix, avec qui il a conquis l'argent aux Jeux olympiques de Paris, a quant &agrave; lui &eacute;t&eacute; priv&eacute; de barrage pour neuf centi&egrave;mes de seconde. Le Jurassien n'a pas fait tomber la moindre perche, mais le point de p&eacute;nalit&eacute; &eacute;cop&eacute; sur le premier parcours le rel&egrave;gue au 4e rang.</p>

Martin Fuchs remporte à nouveau le GP à Spruce Meadows

<p>"Cet &eacute;t&eacute;, la France avait rendez-vous avec l'histoire, et elle a r&eacute;pondu pr&eacute;sent", a d&eacute;clar&eacute; dans son discours de c&eacute;r&eacute;monie de cl&ocirc;ture Tony Estanguet, pr&eacute;sident du comit&eacute; d'organisation des Jeux de Paris 2024. "Et si ces &eacute;motions &eacute;taient &eacute;ph&eacute;m&egrave;res, le souvenir de cet &eacute;t&eacute; historique, lui, restera grav&eacute; en nous."</p>
<p>Les Jeux olympiques, marqu&eacute;s entre autres par une c&eacute;r&eacute;monie in&eacute;dite dans la ville, puis les Paralympiques, les premiers jamais organis&eacute;s sur le sol fran&ccedil;ais, ont &eacute;t&eacute; globalement une r&eacute;ussite durant cet &eacute;t&eacute; "o&ugrave; les gens se parlaient, cet &eacute;t&eacute; o&ugrave; la France &eacute;tait heureuse", a poursuivi Estanguet.</p>
<p><iframe width="100%" data-ratio="16/9" src="https://www.youtube.com/embed/25IooD2mNLc?si=FkbmaNpq9ZzE82bT" title="YouTube video player" frameborder="0" allow="accelerometer; autoplay; clipboard-write; encrypted-media; gyroscope; picture-in-picture; web-share" referrerpolicy="strict-origin-when-cross-origin" allowfullscreen="allowfullscreen"></iframe></p>
<p>Les lieux historiques parisiens, du Grand Palais au stade &eacute;ph&eacute;m&egrave;re au pied de la tour Eiffel en passant pas l'Esplanade des Invalides ou la Place de la Concorde, ont souvent autant marqu&eacute; que les moments de sport pour lesquels environ 12,1 millions de billets ont &eacute;t&eacute; vendus, JO et Paralympiques confondus.</p>
<p>Le pr&eacute;c&eacute;dent record &eacute;tait de 11 millions de tickets vendus, ont fait valoir les organisateurs. Mais &agrave; Paris, 2,5 millions l'ont &eacute;t&eacute; pour les Paralympiques, soit un peu moins qu'&agrave; Londres en 2012.</p>
<div class="link-preview-container"><a class="link-preview" href="https://frapp.ch/fr/articles/stories/les-athletes-suisses-ont-cartonne-aux-paralympiques" target="_blank" rel="noopener"><img class="frapp-img" src="https://media.frapp.ch/image/2024/09/1108517/conversions/N0Kg0IuPdfaLQ2izxdPTMoEVrEeCAogr3S9xC057-500x281.jpg" border="0" />
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<div class="link-preview__badge"><span>Jeux paralympiques</span></div>
<div class="link-preview__title"><span>Les athl&egrave;tes suisses ont cartonn&eacute; aux Paralympiques</span></div>
<div class="link-preview__description"><span>La d&eacute;l&eacute;gation helv&eacute;tique repart des Jeux paralympiques de Paris avec 21 m&eacute;dailles, un bilan qui a largement d&eacute;pass&eacute; les attentes.</span></div>
</div>
</a></div>
<p>Le drapeau paralympique a &eacute;t&eacute; transmis &agrave; Los Angeles, qui accueillera les prochains Jeux olympiques et paralympiques, en 2028, en pr&eacute;sence des maires des deux villes, la Fran&ccedil;aise Anne Hidalgo et la Californienne Karen Bass.</p>
<h2>Spectaculaire</h2>
<p>Douze ans apr&egrave;s les Paralympiques de Londres, fondateurs au regard de leur succ&egrave;s populaire et m&eacute;diatique, d&eacute;sormais "Paris 2024 a &eacute;tabli une r&eacute;f&eacute;rence pour tous les futurs Jeux paralympiques", a d&eacute;clar&eacute; dimanche soir Andrew Parsons, pr&eacute;sident du Comit&eacute; international paralympique, saluant dans son discours "les Jeux paralympiques les plus spectaculaires de tous les temps".</p>
<p>C&ocirc;t&eacute; couverture m&eacute;diatique, 165 cha&icirc;nes de t&eacute;l&eacute;vision ont suivi l'&eacute;v&eacute;nement, et 168 d&eacute;l&eacute;gations ont pris part &agrave; la comp&eacute;tition, l&agrave; encore du jamais vu. Reste d&eacute;sormais &agrave; savoir si ces Jeux de Paris laisseront place &agrave; un h&eacute;ritage solide en mati&egrave;re de prise en compte des droits des personnes en situation de handicap. Pour Michael Jeremiasz, chef de mission de la France sur les Paralympiques, "on ne peut plus reculer" sur ce point.</p>
<p>"Nous avons tous la responsabilit&eacute; collective de profiter de l'&eacute;lan des Jeux paralympiques pour rendre ce monde plus inclusif", a prolong&eacute; Andrew Parsons. "Nous devons permettre aux personnes en situation de handicap d'exceller en dehors des terrains de jeu", a dit le patron du Comit&eacute; international paralympique.</p>

Paris clôt son été olympique

                  <p>"Ce soir, le premier but de l'Espagne n'est peut-être pas valable. Qui peut dire que le ballon a complètement franchi la ligne ? Ensuite, on nous prive de l'égalisation pour une main, explique le sélectionneur. Je veux bien. Mais il y a aussi une main dans la surface espagnole qui aurait dû être sanctionnée d'un penalty pour nous offrir une chance de revenir à 2-2..."</p>
                  <p>Murat Yakin reconnaît toutefois que son équipe aurait dû défendtre d'une manière bien plus intelligente en fin de match. "Surtout à onze contre dix, fulmine-t-il. Nous avons aussi eu de la peine à tenir le rythme qui était le nôtre en première mi-temps durant tout le match. Il y a des joueurs qui ont dû prendre la place des absents et qui n'étaient peut-être pas armés pour jouer avec une telle intensité. L'absence de Xhaka a, par ailleurs, pesé. Avec la qualité de ses passes et sa faculté de trouver les bonnes solutions, il aurait pu nous apporter énormément ce soir. Et il ne faut pas oublier que Dan Ndoye était également absent. On a vu tout ce qu'il a pu apporter lors du dernier Euro."</p>
                  <p>"Je ne sais pas pourquoi nous n&#8217;avons pas été en mesure d&#8217;enchaîner après la pause, se désole également le capitaine d&#8217;un soir Manuel Akanji. Nous aurions dû exploiter notre supériorité numérique, notamment sur les côtés. En première période, nous avions su trouver Breel (Embolo). Ruben (Vargas) a fait mal dans les un-contre-un et Zeki (Amdouni) a su jouer entre les lignes."</p>
          

Ligue des Nations: Yakin la joue sobre

<p>Trois jours apr&egrave;s avoir perdu 2-0 au Danemark, cette d&eacute;faite place la Suisse en f&acirc;cheuse posture dans cette Ligue des nations. Elle devra imp&eacute;rativement faire un r&eacute;sultat le mois prochain en Serbie pour repousser la menace d'une rel&eacute;gation directe en Ligue B. Battre deux fois les Serbes et une fois le Danemark serait, par ailleurs, souhaitable pour assurer son rang de t&ecirc;te de s&eacute;rie lors du tirage au sort le 13 d&eacute;cembre &agrave; Zurich du tour pr&eacute;liminaire de la Coupe du monde 2026.</p>
<p>Sans Granit Xhaka dont l'absence a &eacute;t&eacute; cruellement ressentie lors d'une seconde p&eacute;riode bien trop monocorde, la Suisse a laiss&eacute; passer sa chance dans une premi&egrave;re mi-temps riche en rebondissements. Elle a, malheureusement, &eacute;t&eacute; incapable de poursuivre avec le m&ecirc;me &eacute;lan au retour des vestiaires pour conc&eacute;der au final sa d&eacute;faite la plus lourde depuis le 6-1 du funeste huiti&egrave;me de finale de la Coupe du monde 2022 face au Portugal.</p>
<h2>Une premi&egrave;re mi-temps d&eacute;routante</h2>
<p>Trois buts, une r&eacute;ussite annul&eacute;e par la VAR pour une faute de main de Remo Freuler &agrave; l'aube d'une action splendide de Breel Embolo conclue par l'appel&eacute; de la derni&egrave;re heure Becir Omeragic et, enfin, une main de Lamine Yamal qui aurait d&ucirc; &ecirc;tre sanctionn&eacute;e d'un penalty: la premi&egrave;re mi-temps fut d&eacute;routante, mais elle fut un r&eacute;gal pour tous les amateurs de football malgr&eacute; la pluie et la qualit&eacute; de la pelouse.</p>
<p>Men&eacute;e 2-0 apr&egrave;s seulement 13 minutes de jeu sur des r&eacute;ussites qui ont soulign&eacute; les limites actuelles des deux joueurs de Bologne Remo Freuler et Michel Aebischer, la Suisse a eu l'immense m&eacute;rite de ne pas l&acirc;cher prise face sans doute &agrave; la meilleure &eacute;quipe au monde du moment.</p>
<p>Le grand tournant de cette rencontre fut l'expulsion de Robin Le Normand, coupable d'une faute de dernier recours &agrave; la 21e minute sur Embolo qui avait pris la profondeur sur une ouverture du capitaine Manuel Akanji. Sur le coup franc siffl&eacute; apr&egrave;s la faute du d&eacute;fenseur de l'Atletico Madrid, Zeki Amdouni trouvait la transversale de David Raya comme pour sonner la r&eacute;volte. Titularis&eacute; &agrave; la place de Fabian Rieder, le Genevois &eacute;tait plus heureux &agrave; la 41e minute pour r&eacute;duire la marque. Sur un corner de Ruben Vargas, il surgissait au second poteau apr&egrave;s une d&eacute;viation involontaire de Dani Carvajal.</p>
<h2>L'arbitrage &agrave; nouveau en question</h2>
<p>L'ouverture du score de Joselu &agrave; la 4e minute avait plant&eacute; le d&eacute;cor de cette mi-temps pas vraiment comme les autres. La t&ecirc;te de l'ancien attaquant du Real Madrid avait-elle &eacute;t&eacute; vraiment d&eacute;tourn&eacute;e derri&egrave;re la ligne par Gregor Kobel comme l'a indiqu&eacute; le juge de ligne ? En l'absence de la "goal line technology" et d'une image qui aurait pu lever le doute, l'arbitre ne pouvait que suivre son assistant. D&eacute;j&agrave; l&eacute;s&eacute;e par l'arbitrage &agrave; Copenhague, la Suisse peut se croire maudite dans cette Ligue des nations.</p>
<p>La seconde p&eacute;riode fut une v&eacute;ritable attaque/d&eacute;fense avec une Roja d&eacute;sormais incapable de sortir de ses 30 m&egrave;tres. Avec les remplacements de Lamine Yamal et de Nico Williams, les Champions d'Europe basculaient vraiment en mode combat avec comme unique ambition de conserver ce 2-1. Murat Yakin attendait l'heure de jeu pour redonner un second souffle &agrave; son &eacute;quipe avec les introductions de Fabian Rieder et de Vincent Sierro. "Epargn&eacute;" par le coaching du s&eacute;lectionneur, Gregory W&uuml;thrich h&eacute;ritait de la premi&egrave;re chance dans cette mi-temps cadenass&eacute;e avec une t&ecirc;te qu'il ne pouvait cadrer.</p>
<p>La tentative du joueur du Sturm Graz fut malheureusement la seule action &agrave; porter au cr&eacute;dit des Suisses apr&egrave;s le repos. Cette seconde p&eacute;riode tournait &agrave; la confusion avec les r&eacute;ussites de Ferran Torres (77e) et de Fabian Ruiz (80e) inscrites sur deux ruptures face &agrave; une d&eacute;fense suisse aux abonn&eacute;s absents. A onze contre dix, on n'a pas vraiment le droit de se faire pi&eacute;ger de la sorte.</p>